Les cinéastes Burkinabè semblent se démarquer des autres lors de cette 27e édition de la biennale du rendez-vous africains de la fête du cinéma célébrée dans la capitale du pays des Hommes Intègres. Le film court métrage « Mon jour de chance » du jeune réalisateur Malien Banou Sagou de l’Institut supérieur de l’Image et du Son ISIS Burkina ouvre le bal en remportant ainsi le prix du meilleur film africain des écoles de cinéma.
S’en est suivi, le film long métrage du réalisateur Boubacar DIALLO, qui remporte le prix de la CEDEAO du meilleur film Ouest-africain de l’intégration. Ensuite, le prix du Président du Faso du meilleur espoir a récompensé les efforts de Kidwensida Parfait KABORE avec son œuvre « Après ta révolte, ton vote ». Delphine YERBANGA, réalisatrice du film documentaire « Les traces d’un migrant » repart avec le grand prix du Président du Faso du meilleur film Burkinabè.
De plus, la cinéaste Carine BADO offre au Burkina Faso, le poulain de Bronze avec son œuvre « Zalissa ». Moumouni SANOU honore le pays organisateur avec l’étalon d’or, catégorie film documentaire long métrage.
Au regard de ces multiples prouesses dont les cinéastes Burkinabè ont fait preuve lors de cette 27e édition du FESPACO ne sont-elles pas à féliciter ?
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